Qui es-tu, mon reflet ?
- So.
- 16 mai
- 1 min de lecture

Il y a des jours où l’on se regarde, et quelque chose en soi ne suit plus.
Ce n’est pas que l’on va mal.
Ce n’est pas qu’on ne s’aime plus.
Mais il y a comme un écart.
Un flottement entre ce que l’on voit et ce que l’on ressent.
Entre ce que l’on a été et ce que l’on est en train de devenir.
Et elle peut surgir à n’importe quel moment de la vie : une maternité, une transition de carrière, une maladie, une rupture…ou juste un matin, sans raison apparente.
Ce que vous ressentez alors n’est pas une faiblesse.
C’est une stratégie d’adaptation.
Le cerveau tente de recréer de la cohérence entre ses repères d’avant et une réalité qui a bougé.
Face à ce décalage, certains s’activent : ils testent, changent, explorent, provoquent.
D’autres se replient : ils se figent, se fatiguent, s’éteignent.
Il n’y a pas de “bonne” ou de “mauvaise” manière de réagir.
Mais il y a un besoin, toujours : celui de retrouver du sens.
Même les personnes les plus entourées peuvent ressentir le besoin d’un espace hors du regard familier. Un lieu neutre. Sécurisant. Bienveillant.
Qu’il soit thérapeutique, complémentaire ou en coaching, ce qui compte, c’est de pouvoir poser ce qui cherche à évoluer.
Vous n’avez pas besoin d’aller mal pour avoir envie d’aller mieux.
Ox So.
