Et si tu avais oublié comment respirer ?
- choukinouki
- 27 mai
- 2 min de lecture
Parce qu’au fond, la vie, c’est un perpétuel mouvement, un éternel recommencement.
Et à force de courir sans jamais souffler,
ce qu’on risque d’atteindre avant tout…
c’est de s’étouffer dans l’épuisement.
On a souvent cru qu’il fallait foncer vers un objectif,
l’atteindre au plus vite,
et que seule l’arrivée comptait.
🎯 Tant que le but était beau, le reste semblait secondaire.
Mais voilà.
Courir après l’arrivée, encore et encore,
c’est courir après un mirage :
un bref pic de dopamine,
vite avalé par l’habitude.
Et au bout du compte,
le seul vrai gagnant,
c’est l’usure.
Et puis un jour, quelque chose nous oblige à ralentir.
Et là, dans ce relâchement,
on découvre un autre rythme.
Plus lent. Plus vivant.
Moins spectaculaire, mais plus ancré.
En respirant, on réalise à quel point on allait vite.
Et à quel point on passait à côté
de tout ce qui se joue en cours de route.
Alors oui, les projets, les objectifs, les résultats ont leur place.
Mais ce n’est plus ça qui nourrit.
On apprend à apprécier les étapes.
À observer, ajuster, affiner.
À ne plus forcer, mais à construire.
À faire au mieux, plutôt que vite.
Et petit à petit,
on découvre que c’est là —
dans le comment on fait les choses —
que peut-être, une petite partie de l’estime de soi se construit.

Pas dans ce qu’on montre à la fin.
Mais dans ce que l’on crée, tout au long du chemin.
🌿 En coaching et en hypnose, on travaille justement sur ça.
Sur la façon de retrouver son rythme juste.
De reconstruire un lien plus doux avec soi.
Et d’avancer autrement… en accueillant les étapes.
✨ Envie d’essayer ?
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